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Lectures d’été – Propositions de Pascal Viaud

Pour lâcher prise et se détendre, Pascal Viaud vous propose ses trois compagnons de route pour l’été.

Un livre « compagnon de route » est un ouvrage que l’on aime ressortir de ses étagères (même numériques) pour le parcourir à nouveau et finalement le redécouvrir, comme si on le lisait pour la 1ère fois. Évidemment, ce n’est pas le livre qui a changé, mais le point de vue de son lecteur ou sa lectrice. Intéressant constat auquel Gandhi nous invitait : « Commencez à changer en vous ce que vous voulez changer autour de vous ».

 

« Ces décideurs qui méditent et s’engagent » de Sébastien Henry

Quoi de mieux que la période estivale pour se ressourcer et découvrir des pratiques souvent éloignées de nos habitudes quotidiennes. Pourquoi pas la méditation, et plus précisément la pleine conscience ? Presqu’un art de vivre, centré sur le bonheur du présent plutôt que la nostalgie du passé ou le stress du futur. Des moments que l’on s’offre pour profiter de l’ici et maintenant et, corolaire, qui rejaillissent positivement sur ceux et celles qui nous entourent. Ce livre aborde la méditation sous le regard de dirigeants, vous savez, ces personnes qui n’ont jamais une minute à elles : ça vous dit quelque chose ?… Une formidable bulle d’oxygène dans une vie passionnante mais souvent trépidante.

« Découvrir un sens à sa vie » de Viktor Frankl

Respect ! Comment peut-il en être autrement face aux horreurs vécues par cet homme, qui l’incitent néanmoins à se poser une question existentielle : comment peut-on vivre des moments d’extase dans des conditions difficiles, voire inhumaines ? Cet ouvrage invite à réfléchir au sens donné aux évènements qui façonnent notre vie, qu’ils soient des moments d’intenses bonheur ou de profondes difficultés. Ce n’est pas ce qui nous arrive qui est important, mais comment nous le vivons : « maître de mon destin, capitaine de mon âme » écrivait Henley.

« La semaine de 4 heures » de Tim Ferriss

Allez, les vacances, c’est fait pour rêver, par exemple ramener son nombre d’heures travaillées hebdomadairement à 4 heures… Finalité loufoque dont ce best-seller se plait pourtant à démontrer la faisabilité. Car s’il y a bien une chose après laquelle nous courons, c’est bien le temps. Or, ici et là, des dirigeants démontrent leur aptitude à moins travailler quantitativement tout en réussissant qualitativement. Le principe du « moins mais mieux » nous invite à apprendre et à désapprendre certains schémas mentaux qui gouvernent puissamment notre vie mais la rigidifient inutilement.